La recherche est difficile à ignorer, les vaccins peuvent déclencher l’auto-immunité pour un nombre impressionnant de maladies. Avec les métaux nocifs et toxiques comme ingrédients de certains vaccins, qui est le plus susceptible et quelles personnes sont les plus à risque ?

Personne n’accuserait Yehuda Shoenfeld d’être un charlatan. Le clinicien israélien a passé plus de trois décennies à étudier le système immunitaire humain et est à l’apogée de sa profession. On pourrait dire qu’il représente la base de sa spécialité; il a en effet écrit les manuels suivants : The Mosaic of AutoimmunityAutoantibodiesDiagnostic Criteria in Autoimmune Diseases, Infection and Autoimmunity, Cancer and Autoimmunity (La mosaïque de l’auto-immunité, des auto-anticorps, des critères diagnostiques dans les maladies auto-immunes, de l’infection, du cancer et de l’auto-immunité) – la liste est longue de 25 titres et certains d’entre eux sont des pierres angulaires de la pratique clinique. Il n’est guère surprenant que Shoenfeld ait été appelé le « Godfather of Autoimmunology » (« Parrain de l’auto-immunologie ») – l’étude du système immunitaire inclut un large éventail de maladies allant du diabète de type 1 à la colite ulcéreuse et la sclérose en plaque.

Mais il se passe quelque chose d’étrange dans le monde de l’immunologie ces derniers temps et une petite preuve en est que le parrain de l’auto-immunologie pointe du doigt les vaccins – en particulier certains de leurs ingrédients dont l’aluminium métallique toxique – comme un contributeur important à l’épidémie mondiale croissante de maladies auto-immunes. Les preuves les plus probantes sont un énorme corpus de recherches qui se sont répandues au cours des 15 dernières années et plus particulièrement au cours des cinq dernières. Prenons l’exemple d’un article paru récemment dans la revue Pharmacological Research (Recherche pharmacologique), dans lequel Shoenfeld et ses collègues publient des lignes directrices sans précédent qui énumèrent quatre catégories de personnes les plus à risque d’auto-immunité induite par le vaccin.

« D’une part, les vaccins préviennent les infections qui peuvent déclencher l’auto-immunité » disent les auteurs du journal, Alessandra Soriano, du Département de médecine clinique et de rhumatologie du Campus Bio-Medico University à Rome, Gideon Nesher, de la Faculté de médecine de l’Université hébraïque de Jérusalem et Shoenfeld, fondateur et directeur du Centre de maladies auto-immunes de Zabludowicz du centre médical de Sheba à Tel Hashomer. Ce dernier est également rédacteur en chef de trois revues médicales et auteur de plus de 1 500 articles de recherche dans le domaine du journalisme médical et fondateur du Congrès international sur l’auto-immunologie. « D’autre part, de nombreux rapports parlant de l’auto-immunité post-vaccination suggèrent fortement que les vaccins peuvent effectivement déclencher l’auto-immunité. Les maladies auto-immunes définies qui peuvent survenir à la suite des vaccinations comprennent l’arthrite, le lupus (lupus érythémateux systémique, ELS), le diabète sucré, la thrombocytopénie, la vascularite, la dermatomyositis, le syndrome de Guillain-Barre et les troubles démyélinisants. Presque tous les types de vaccins ont été associés avec l’apparition de l’ASIA. »

ASIA – ou Syndrome Auto-Immunitaire/Inflammatoire provoqué par des Adjuvants (également connu sous le nom de syndrome de Shoenfeld) – est apparu pour la première fois dans le Journal de l’Auto-immunologie il y a quatre ans. Il s’agit d’un terme générique désignant un ensemble de symptômes semblables dont le syndrome de fatigue chronique qui surviennent après l’exposition à un adjuvant – un agent environnemental comprenant des ingrédients courants du vaccin qui stimulent le système immunitaire. Depuis lors, un énorme corpus de recherches, utilisant l’ASIA comme paradigme, a commencé à élucider le mystère de la façon dont les toxines environnementales, en particulier l’aluminium métallique utilisé dans les vaccins, peuvent déclencher une réaction en chaîne du système immunitaire chez les personnes sensibles et peuvent mener à une maladie auto-immune manifeste.

La maladie auto-immune se produit quand le système du corps destiné à attaquer les envahisseurs étrangers se met à attaquer une partie du corps auquel il appartient (auto vient du grec et signifie soi-même). Si le système immunitaire est comme un système de défense nationale, les anticorps sont comme des drones programmés pour reconnaître un certain type d’envahisseur (une bactérie dite) et pour les détruire ou les marquer en vue de leur destruction par d’autres forces spéciales. Les auto-anticorps sont comme les drones qui identifient mal un composant du corps humain et qui lancent une attaque soutenue contre lui. S’ils ciblent par erreur un composant de la gaine conductrice autour des neurones, par exemple, les impulsions nerveuses cessent de se comporter correctement, les muscles se transforment en spasmes et la coordination échoue; la sclérose en plaques en résulte. Si les auto-anticorps se concentrent par erreur sur les tissus articulaires, il en résulte une polyarthrite rhumatoïde. S’ils ciblent les îlots de Langerhans dans le pancréas, le diabète de type 1, etc.

« Tout au long de notre vie, le système immunitaire normal suit une ligne de démarcation entre la préservation des réactions immunitaires normales et le développement de maladies auto-immunes » dit le document. « Le système immunitaire sain tolère les auto-antigènes. Lorsque l’auto tolérance est perturbée, la dérégulation du système immunitaire suit, ce qui entraîne l’émergence d’une maladie auto-immune. La vaccination est l’une des conditions qui peut perturber cette homéostasie chez les personnes sensibles entraînant des phénomènes auto-immunes et l’ASIA. »

Qui est « susceptible » est le sujet du document intitulé « Prédire l’auto-immunité post-vaccination : qui pourrait être à risque ? ». Il énumère quatre catégories de personnes: 1) celles qui ont déjà eu une réaction auto-immune à un vaccin, 2) toute personne ayant des antécédents médicaux d’auto-immunité, 3) les patients ayant des antécédents de réactions allergiques, 4) toute personne présentant un risque élevé de développer une maladie auto-immune comprenant toute personne ayant des antécédents familiaux d’auto-immunité, la présence d’auto-anticorps détectables par des tests sanguins et d’autres facteurs y compris une faible teneur en vitamine D et le tabagisme.

RÉACTION PRÉCÉDENTE

En ce qui concerne les personnes qui ont déjà eu une réaction indésirable aux vaccins, l’article cite cinq études pertinentes dont le cas d’une adolescente décédée six mois après sa troisième injection de Gardasil contre le VPH. Peu de temps après sa première dose, elle avait éprouvé une série de symptômes dont : des étourdissements, des engourdissements et des picotements dans les mains et des pertes de mémoire. Après sa deuxième injection, elle a développé une « faiblesse intermittente du bras, une fatigue fréquente nécessitant des siestes diurnes », des picotements plus intenses, des sueurs nocturnes, des douleurs thoraciques et des palpitations. « Une autopsie complète n’était pas révélatrice mais l’analyse du sang et des tissus de la rate a révélé la présence de fragments d’ADN du gène L1 du VPH-16 L1 qui correspondaient à l’ADN trouvé dans les fioles du vaccin Gardasil contre le cancer du col de l’utérus » impliquant ainsi le vaccin comme facteur causal. Les fragments d’ADN se sont également avérés « complexés avec l’adjuvant d’aluminium » qui, selon le rapport, se sont révélés persister pendant 8 à 10 ans provoquant une stimulation chronique du système immunitaire.

« Bien que les données soient limitées », M. Shoenfeld et ses collègues ont conçus qu' »il semble préférable que les personnes qui ont déjà eu des réactions auto-immunes ou semblables aux vaccins ne devraient pas être immunisées du moins, pas avec le même type de vaccin. »

MALADIE AUTO-IMMUNE ÉTABLIE

Le deuxième groupe que le document cite pour l’exemption du vaccin est celui des patients atteints de « maladies auto-immunes établies ». Shoenfeld et ses collègues affirment que les vaccins ne fonctionnent pas très bien chez eux et qu’ils sont « à risque d’éruptions après la vaccination ». Les inoculations qui contiennent des virus vivants dont la varicelle, la fièvre jaune et le triple vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole (RMM) sont  » généralement contre-indiquées  » chez les personnes atteintes de maladies auto-immunes en raison du risque de « réplication virale incontrôlée ». Mais les vaccins inactivés ne sont pas une bonne idée non plus car ils contiennent généralement l’ingrédient ajouté nommément aluminium lié à l’auto-immunité.

Les immunologues décrivent des études récentes dans lesquelles les patients atteints de rhumatismes auto-immunes ayant reçu le vaccin anti-grippal (sans aluminium) souffraient davantage de douleurs articulaires et de fièvre que les témoins et dont le taux d’auto-anticorps (ceux qui s’attaquent à eux-mêmes) a augmenté après avoir reçu le vaccin anti-grippal. De plus, ils ont mis au point de nouveaux types d’auto-anticorps qui n’étaient pas présents avant les vaccins et qui ont persisté. Comme la présence d’auto-anticorps peut être prédictive du développement d’une maladie auto-immune chez les patients sans symptômes, même des années avant l’apparition de la maladie, cela est troublant pour ceux qui comprennent l’immunologie.

Un certain nombre d’études affirment que les vaccins sont sans danger pour « l’écrasante majorité des patients souffrant de maladies auto-immunes établies » mais elles ne se sont que penchées sur la polyarthrite rhumatoïde et le lupus et non sur les cas graves et actifs de sorte que : « les avantages potentiels de la vaccination devraient être mis en balance avec le risque potentiel » ont-ils mis en garde.

LES PATIENTS AYANT DES ANTÉCÉDENTS D’ALLERGIE

Les essais cliniques sur le vaccin ont généralement exclu les personnes « vulnérables » – seules des personnes en très bonne santé et sans allergie sont recrutées. Selon Soriano et Shoenfeld, il s’agit d’un « biais de sélection » qui a probablement entraîné une « sous-estimation considérable » des effets indésirables graves dans la vie réelle où les vaccins sont prescrits à tous les individus peu importe leur sensibilité. L’incidence réelle des réactions allergiques aux vaccins qui sont normalement estimées entre une sur 50 000 et une sur un million de doses est probablement beaucoup plus élevée surtout lorsque la gélatine ou les protéines d’oeufs figurent sur la liste des ingrédients, disent-ils.

Il y a une longue liste d’ingrédients de vaccins qui sont des allergènes potentiels : outre les agents infectieux eux-mêmes, il y a ceux de l’œuf de poule, du sérum de cheval, de la levure de boulangerie, de nombreux antibiotiques, du formaldéhyde et du lactose mais aussi des ingrédients présent « par inadvertance » comme le latex. Les antécédents allergiques des gens doivent être pris avant la vaccination, disent les chercheurs. Mais certains signes de réaction ne se manifestent qu’après la piqûre.

L’infirmière de santé publique ou l’omnipraticien peut dire aux patients qu’un gonflement prolongé autour du point d’injection après un vaccin est une réaction normale par exemple. Mais ce n’est pas ce que disent les immunologues. « Une sensibilisation à l’aluminium se manifeste par des nodules au point d’injection qui régressent souvent après des semaines ou des mois mais peuvent persister pendant des années. »Dans de tels cas », disent-ils, « un test de dépistage peut être effectué pour confirmer la sensibilité et éviter la vaccination. »

Cependant, selon un nombre croissant de recherches, l’allergie n’est peut-être que le début de nombreux phénomènes dangereux induits par l’aluminium.

LE PROBLÈME AVEC L’ALUMINIUM

L’aluminium a été ajouté aux vaccins depuis environ 1926 quand Alexander Glenny et ses collègues ont remarqué qu’il produirait de meilleures réponses aux anticorps dans les vaccins que l’antigène seul. Glenny pensait que l’alun provoquait ce qu’il appelait un « effet de dépôt » – ralentissant la libération de l’antigène et renforçant la réponse immunitaire. Pendant 60 ans, sa théorie a été acceptée comme un dogme. Au cours de la même période, le calendrier vaccinal s’est allongé d’une décennie sur dix mais peu de gens ont remis en question les effets de l’injection d’aluminium dans le corps, ce qui est étrange compte tenu de sa toxicité connue.

Une recherche PubMed sur l’aluminium et la « toxicité » affiche 4 258 entrées. Sa neuro-toxicité est bien documentée. Elle affecte la mémoire, la cognition, le contrôle psychomoteur, endommage la barrière hémato-encéphalique, active l’inflammation cérébrale, réduit la fonction mitochondriale et de nombreuses recherches suggèrent qu’elle est un acteur clé dans la formation des « plaques » amyloïdes et des enchevêtrements dans le cerveau des patients atteints de la maladie d’Alzheimer. Elle a été impliquée dans la sclérose latérale amyotrophique et l’autisme et il a été démontré qu’elle provoque une allergie.

Lorsque des patients atteints de dialyse rénale ont été infusés accidentellement avec de l’aluminium, « l’encéphalopathie induite par la dialyse« , ils ont présenté les symptômes neurologiques suivants : anomalies de la parole, tremblements, perte de mémoire, altération de la concentration et changements de comportement. Beaucoup de patients ont fini par sombrer dans le coma et sont morts. Les chanceux ont survécu : lorsque la source de toxicité, l’aluminium, a été retirée de leur dialyse et se sont vite rétablis.

Grâce à ces nouvelles observations, les chercheurs ont commencé à étudier les effets des adjuvants de l’aluminium et, au cours de la dernière décennie, il y a eu une avalanche de recherches. Loin d’être un sac de sable qui retient l’antigène pendant un certain temps et qui est ensuite excrété, il s’avère que les sels d’aluminium déclenchent une tempête de mesures de défense. Dans les heures qui suivent l’injection du même oxyhydroxyde d’aluminium dans les vaccins chez les souris, par exemple, des armées de cellules immunitaires spécialisées se déplacent appelant des forces d’assaut plus spécialisées. En l’espace d’une journée, toute une série de commandos du système immunitaire entre en jeu — neutrophiles, éosinophiles, monocytes inflammatoires, cellules myéloïdes et dendritiques activant les lymphocytes et sécrétant des protéines appelées cytokines. Les cytokines elles-mêmes causent des dommages collatéraux mais elles émettent des signaux, dirigent la communication intercellulaire et recrutent d’autres cellules en action. Si la phase suivante de l’attaque est lancée : facteur de croissance des fibroblastes, interférons, interleukines, facteur de croissance dérivé des plaquettes, facteur de croissance transformant et facteur de nécrose tumorale. Il y a des preuves que les inflammasomes mal compris et ennuyeux (actuellement un sujet de recherche de pointe sur les causes du cancer) comme le récepteur 3 de type Nod-like (PRNL) sont activés aussi. Mais il est encore trop tôt pour dire exactement ce qu’ils font.

De nouvelles recherches menées à l’Université de la Colombie-Britannique ont révélé que l’adjuvant d’aluminium injecté chez la souris peut modifier l’expression des gènes associés à l’auto-immunité. Et dans leur étude récente publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (Actes de l’Académie nationale des sciences), les immunologistes de l’Université du Colorado ont constaté que même l’ADN hôte est recruté avec l’agression de l’aluminium, qu’il est rapidement injecté d’alun et qu’il déclenche des effets que les scientifiques ont à peine compris aujourd’hui.

L’IMPORTANCE DE LA MYOFASCIITE MACROPHAGIQUE

Cette mobilité ou « translocation » de l’aluminium dans le corps est peut-être la plus troublante des preuves de plus en plus évidentes dans la recherche actuelle sur l’aluminium. En 1998, les chercheurs français Romain Gherardi et ses collègues ont observé une maladie émergente d’origine inconnue qui se présentait chez les patients après la vaccination avec des symptômes de fatigue chronique comme les ganglions lymphatiques enflés, les douleurs articulaires et musculaires et l’épuisement. Les biopsies tissulaires du deltoïde des patients ont révélé des lésions jusqu’à 1 cm de diamètre et des lésions similaires à d’autres maladies. Ils sont allés au laboratoire pour analyse et à l’étonnement de Gherardi, ils se composaient principalement de macrophages – de grands globules blancs dans le système immunitaire dont le travail est d’avaler les envahisseurs étrangers dans le corps. Dans le fluide cellulaire de ces phagocytes se trouvaient enfermés des agglomérats de nanocristaux d’aluminium.

Gherardi et ses collègues ont commencé à injecter de l’aluminium à des souris pour voir ce qui se passait. Leurs recherches publiées en 2013 ont révélé que les particules métalliques ont été englouties par des macrophages et ont formé des granulomes de type FMM qui se sont dispersés — aux ganglions lymphatiques distants, à la rate, au foie et éventuellement au cerveau.

« Cela suggère fortement que la biopersistance adjuvante à long terme dans les cellules phagocytaires est une condition préalable à la translocation lente du cerveau et à la neurotoxicité retardée » écrit Gherardi dans son examen de février 2015 parmi les recherches pertinentes de Frontiers in Neurology.

Une autre étude animale plus effrayante sur l’aluminium est celle du vétérinaire espagnol Lluis Lujan sur l’ASIA ovine. Après la mort d’un grand nombre de moutons en Espagne en 2008 à la suite d’une campagne de vaccination multiple obligatoire contre la fièvre catarrhale du mouton en Espagne en 2008, Lujan s’est mis à découvrir ce qui les avait tués – et il a commencé à les inoculer avec de l’aluminium.

Son étude de 2013 a révélé que seulement 0,5 % des moutons inoculés avec des vaccins à base d’aluminium présentaient des réactions immédiates de léthargie, de cécité passagère, de stupeur, de prostration et de convulsions – « caractérisées par une méningo-encéphalite grave semblable aux réactions post-vaccinales observées chez les humains ». La plupart d’entre eux se sont rétablis, temporairement, mais il fit des examens post-mortem de ceux qui n’avaient pas révélé d’inflammation cérébrale aiguës.

La phase « chronique » d’apparition tardive de la maladie touchait beaucoup plus de moutons – 50 à 70 % des troupeaux et parfois pratiquement 100 % des animaux d’un troupeau. Souvent déclenchée par l’exposition au froid, la réaction a commencé par de l’agitation et des morsures compulsives de laine, puis a évolué vers une rougeur aiguë de la peau, une faiblesse généralisée, une perte de poids extrême et des tremblements musculaires pour finalement entrer dans la phase terminale où les animaux sont descendus sur leurs quartiers avant, sont devenus comateux et sont morts. Des examens post-mortem ont révélé une « nécrose neuronale grave » et de l’aluminium dans les tissus nerveux.

La réaction du système immunitaire face à l’aluminium « représente un défi majeur pour la santé » déclare Gerhardi dans sa récente étude. Il ajoute que « les tentatives pour examiner sérieusement les problèmes d’innocuité soulevés par le caractère bio-persistant et l’accumulation cérébrale des particules d’alun n’ont pas été faites […]. Il reste beaucoup à faire pour comprendre comment, chez certaines personnes, les vaccins contenant de l’alun peuvent devenir insidieusement dangereux. ».

Revennons sur le problème de « certains individus » qui devraient éviter la vaccination pour éviter tout risque de maladies auto-immunes.

PERSONNES SUJETTES À L’AUTO-IMMUNITÉ

Soriano et Shoenfeld identifient une dernière catégorie : toute personne à risque de développer une maladie auto-immune. Depuis un certain nombre d’entre eux se sont avérés avoir des facteurs génétiques qui incluraient toute personne ayant des antécédents familiaux de maladie auto-immune. Il comprend également toute personne qui a reçu un résultat positif à un test de dépistage d’auto-anticorps qui peut indiquer la présence d’une maladie plusieurs années avant l’apparition des symptômes. Les médecins disent que les vaccins « peuvent déclencher ou aggraver la maladie ».

Selon le rapport, les fumeurs aussi ont un risque exceptionnellement élevé de développer une maladie auto-immune. L’American Cancer Society estime qu’environ 18 % des Américains fument. Cela signifie qu’environ 42 millions d’Américains courent un risque élevé de développer une maladie auto-immune et qu’ils sont en train d’accumuler les chances avec chaque vaccin.

Enfin, les facteurs que Shoenfeld et Soriano associent à un risque élevé de développer l’auto-immunité sont un taux élevé d’œstrogènes et une faible teneur en vitamine D — ce qui signifie que toute personne prenant des contraceptifs ou une hormonothérapie substitutive et, selon une étude de 2009 sur l’état de la vitamine D, environ les trois quarts des adolescents et des adultes américains devraient se méfier des vaccins.

Shoenfeld ne semble cependant pas vouloir exclure toutes ces personnes de la vaccination. Le document conclut que « pour l’écrasante majorité des individus, les vaccins ne comportent aucun risque de maladie auto-immune systémique et devraient être administrés conformément aux recommandations actuelles. » Ce qui contraste fortement avec le corps du papier. Le dernier mot est une mise en garde sur le fait de peser le « bénéfice potentiel de la vaccination… par rapport à son risque potentiel. »

C’est un exemple d’une étrange forme de schizophrénie dans un large éventail d’articles récents sur l’immunologie. Les médecins semblent essayer de concilier un siècle de dogme vaccinal « sûr et efficace » avec les conclusions terrifiantes des recherches menées au cours de la dernière décennie. Il y a beaucoup de « d’une part » et « d’autre part » en eux.

Cependant, la nouvelle recherche semble sur le point de prendre le dessus. En 2013, six immunologistes, dont Shoenfeld, feront un survol de l’ASIA en 2013. Il s’agit d’un catalogue des effets secondaires du vaccin qui résultera de la mort de Gardasil, d’épidémies de narcolepsie, d’infertilité, de fatigue chronique, de décès de moutons et de cerveaux à aluminium. Il y a une dizaine d’années, il y a eu des déclarations qui auraient été pratiquement inouïes en médecine traditionnelle. Comme :

« Peut-être que dans vingt ans, les médecins se battront en duel avec des particules d’auto-immunité mieux caractérisées et les vaccins pourraient devenir entièrement sûrs et efficaces. Néanmoins, la reconnaissance de l’ASIA a initié le changement pour mettre plus d’efforts dans l’identification du bon, du mauvais et du laid des vaccins et en particulier des adjuvants comme déclencheurs de l’auto-immunité. » Le mauvais et laid des vaccins ? Qu’est-ce qui ne va pas avec les adjuvants ? Ce n’est pas dans le document du CDC.

Ou celle-là :

« Malgré l’énorme somme d’argent investie dans l’étude des vaccins, il y a peu d’études observationnelles et pratiquement aucun essai clinique randomisé documentant l’effet sur la mortalité de n’importe lequel des vaccins existants. Un article récent a révélé une augmentation du taux d’hospitalisation avec l’augmentation du nombre de doses de vaccin et un taux de mortalité de 5-8 doses de vaccin à 1-4 doses de 1,5, ce qui indique une augmentation statistiquement significative des décès associés à des doses de vaccin plus élevées. Étant donné que les vaccins sont donnés à des millions de nourrissons chaque année, il est impératif que les autorités sanitaires disposent de données scientifiques issues d’études de toxicité synergique sur toutes les combinaisons de vaccins… ». Cela pourrait être un discours de lobbyist anti-vaccins… mais ce n’est pas le cas.

Mais voici le pompon :

« La Cour suprême des États-Unis a statué que les fabricants de vaccins sont à l’abri des poursuites judiciaires qui prétendent que la conception du vaccin est défectueuse. Il est donc nécessaire de concevoir des essais cliniques novateurs et les vaccins eux-mêmes devraient être redessinés. » Les immunologistes, y compris l’autorité mondiale en matière d’auto-immunité, affirment qu’il est temps de ramener les vaccins à la case départ.

Les maladies auto-immunes sont la troisième cause de morbidité et de mortalité dans le monde et comptent maintenant parmi les 10 premières causes de mortalité chez les jeunes Américaines.  L’American Autoimmune Related Diseases Association (L’Association américaine des maladies auto-immunes) estime que 50 millions d’Américains souffrent de l’une des 88 maladies auto-immunes – du diabète de type 1 au lupus érythémateux systémique – et certaines recherches évaluent ce chiffre à un sur cinq dans le monde. Au moins 40 autres maladies sont soupçonnées d’être à médiation immunitaire. La plupart d’entre elles sont dévastatrices – souvent paralysantes, coûteuses à traiter et incurables. Et elles progressent à un rythme étonnant.

À ce stade, il semble que plus la recherche déborde, plus il sera difficile pour les immunologistes pro-vacciniques de mettre un terme au trouble de la personnalité multiple – ou à la dépression nerveuse complète. Dix ans de recherche de pointe sur les effets de l’aluminium sur le système immunitaire ont révélé principalement à quel point ils étaient erronés et le peu que l’ils savent.  Si, après 90 ans, les médecins ont enfin commencé à examiner sérieusement le mécanisme et à s’interroger sur les mérites de l’injection de toxines métalliques chez les nouveau-nés, qu’ont-ils encore à découvrir ? L’ASIA a l’air horrible. (Très mauvais pour toutes les personnes dont les enfants souffraient de fatigue chronique alors que c’était juste une envie freudienne de dormir avec leur mère.) Mais que se passe-t-il si, comme les moutons de Lujan, la minorité « négligeable » qui a payé le prix du bien de l’humanité n’est en fait que la pointe de l’iceberg ? Que se passe-t-il si certaines personnes n’ayant pas de réactions immunitaires indésirables apparentes ont encore des nano-cristaux d’aluminium qui se déposent silencieusement dans leur cerveau ? Et si l’ASIA inclut vraiment la maladie d’Alzheimer ? L’ALS, l’autisme ? L’ADD ? Et ce sont juste les A…

Même si les immunologistes continuent à porter leurs lunettes de couleur rose et que les ingrédients du vaccin ne sont responsables que d’une infime partie de l’auto-immunité qui explose, le « laid » des vaccins deviendra de plus en plus difficile à ignorer. Quand tout le monde sur la planète se fait injecter, 20 ans c’est long pour les personnes handicapées d’enfin dire la vérité alors que les scientifiques « se battent en duel avec les particules caractérisées de l’auto-immunité ». Dans la rage suscitée par l’épidémie de rougeole de Disneyland, qui saisit les promoteurs de vaccins dans le monde, le temps presse pour agir pour les médecins et les chercheurs qui voient le côté « mauvais et laid » des vaccins et de leurs adjuvants. Il y a peu de chances qu’un vaccin fasse l’objet d’une refonte en l’absence d’un incitatif au profit et d’une forte probabilité que le vaccin universel soit prescrit à tous, qu’il y ait ou non une réaction de choc anaphylactique.

Celeste McGovern est une journaliste indépendante primée en Écosse. Elle fait des reportages sur les nouvelles médicales, les scandales de drogue, la santé alternative et plus à www.ghostshipmedia.com

Source: http://www.greenmedinfo.com/blog/attacking-ourselves-top-doctors-reveal-vaccines-turn-our-immune-system-against-us

Traduction PFC Francophone.

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