Article original du 9 mars 2016.
Les gènes de la race humaine n’ont jamais été soumis à une pression aussi intense de leur environnement. Les pesticides et les herbicides chimiques qui perturbent, déforment et détruisent la chimie naturelle de la vie et la microbiologie sont pulvérisés directement sur les aliments que les gens consomment. Les effets néfastes sont mesurés jusqu’au niveau génétique.
(Mardi 08 mars 2016 par : L. J. Devon, NaturalNews). En présence de pesticides et d’herbicides comme le glyphosate, les gènes sains qui devraient être exprimés sont désactivés et les gènes qui devaient rester inactifs sont activés. La race humaine vit un changement comme jamais auparavant et les changements épigénétiques se produisent silencieusement sans compréhension humaine.
Les pesticides et les herbicides détruisent la relation naturelle du corps
Ce dilemme est né du désir de l’humanité de contrôler et de manipuler la nature en prenant des raccourcis chimiques avec l’agriculture et la production alimentaire. Quand allons-nous commencer à comprendre que la myriade de produits chimiques que nous développons, vaporisons, respirons, mangeons et injectons dans notre corps, interfère avec les relations naturelles et saines de nos systèmes organiques ? Des scientifiques indépendants commencent maintenant à comprendre que le mécanisme utilisé par l’herbicide glyphosate pour détruire les plantes est le même mécanisme qui tue les bons microbes dans l’intestin humain. Ce sont ces bons microbes qui favorisent l’absorption adéquate des nutriments, l’élimination des déchets, la désintoxication des impuretés et la protection de la muqueuse intestinale et du sang. En l’absence d’un microbiote fort, le corps humain est lent à déclencher des réponses immunitaires aux agents stressants pathogènes.
Les gènes sont endommagés à un jeune âge car les nourrissons sont inondés de produits chimiques.
Les nourrissons sont exposés très jeunes aux pesticides et aux herbicides par les tubes d’alimentation des hôpitaux et les préparations à base de sirop de maïs. Le fardeau des produits chimiques est beaucoup plus dévastateur pour les petits organismes en développement qui représentent généralement 1/30e du poids d’un adulte. De plus, la vitesse à laquelle les nourrissons reçoivent des injections de vaccins contenant de l’aluminium, des antibiotiques, du formaldéhyde, du MSG, des lignées cellulaires animales et humaines et, dans certains cas, du mercure, suggère que leurs gènes sains ne verront peut-être jamais de conditions normales pour exprimer leur disposition innée et saine.
Comme ces produits chimiques décomposent la muqueuse intestinale et appauvrissent la microbiologie intelligente de l’organisme, le sang est facilement infiltré. Cela permet aux produits chimiques de circuler dans tout le système et cela nuit aux systèmes de filtration comme les reins, la vésicule biliaire, le foie et la peau. Si le corps est exposé suffisamment longtemps, les pesticides, les métaux lourds et d’autres produits chimiques peuvent même circuler dans le cerveau causant la mort des cellules neuronales et interférant avec les hormones et l’homéostasie mentale.
Liens étroits entre les pesticides, les herbicides et la maladie de Parkinson
Les pesticides et les herbicides sont pulvérisés sans précaution aujourd’hui infiltrant à la fois la chimie des aliments et l’air que nous respirons. Malheureusement, on dit souvent aux agriculteurs de pulvériser du glyphosate cancérigène sur un champ aride, après la récolte, pour s’assurer qu’aucune mauvaise herbe ne poussera pendant l’hiver. C’est tellement triste.
De la Division de l’épidémiologie et de la génétique du cancer de l’Institut national du cancer, des chercheurs ont découvert que l’exposition chronique aux pesticides est directement liée à la maladie de Parkinson. La maladie de Parkinson représente une fardeau de problèmes de santé provenant du système nerveux central et se manifeste par un déclin de la fonction motrice, des secousses aux extrémités, des déficits cognitifs et une démence potentielle.
En mai 2013, l’Académie Américaine de Neurologie (AAN) a publié des résultats sur plus de 100 études à travers le monde montrant qu’une exposition accrue aux pesticides, herbicides et solvants est « probablement associée à un risque plus élevé de développer la maladie de Parkinson ». Les agriculteurs qui travaillent directement avec ces produits chimiques souffrent le plus de troubles neurologiques et en particulier de la maladie de Parkinson. L’exposition aux pesticides dans les régions rurales étant directement liée à un risque deux fois plus élevé de contracter la maladie de Parkinson.
Dans le cadre d’une étude menée en 2011 par des chercheurs de l’École de santé publique de l’Université de Californie à Los Angeles, il a été prouvé qu’une exposition systématique et ordinaire aux pesticides à la maison et au jardin entraîne un risque trois fois plus élevé de maladie de Parkinson. Dans une méta-analyse, 17 études sur 19 ont montré que l’augmentation de la durée d’exposition aux pesticides et aux herbicides chimiques était directement liée au risque accru de maladie de Parkinson.
Le corps humain n’est pas renforcé lorsqu’il est exposé à des produits chimiques industriels; l’exposition aux pesticides ne le rend pas plus coriace. Cet assaut de produits chimiques sur nos pelouses, sur nos cultures vivrières et dans nos maisons nous affaiblit lentement et silencieusement. Les dommages sont observés et ressentis jusqu’au niveau hormonal, microbien et génétique détruisant l’harmonie naturelle du corps avec et dans son environnement.
Les sources incluent:
MidwestPesticideAction.org (page 14)
Tuesday, March 08, 2016 by: L.J. Devon, NaturalNews
Traduction Lucy Pitt.
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