Les conseils du gouvernement sur la nutrition a détruit d’innombrables vies au cours des dernières décennies, depuis la guerre contre les graisses commencée dans les années 1970
Pouvons-nous faire confiance aux études scientifiques commanditées par l’industrie et aux organismes gouvernementaux qui approuvent une telle « science »?
Il a été bien documenté ces derniers temps que la « science » publiée dans des journaux revus par des pairs est en grande partie financée par les intérêts des entreprises, où la corruption est maintenant la norme.
Les résultats sont déterminés longtemps avant que les études ne soient financées pour promouvoir des intérêts particuliers.
Voici quelques articles récents que nous avons publiés ici à Health Impact News et qui dénoncent cette corruption:
La littérature scientifique évaluée par des pairs est remplie de fausse science
La corruption de la science: Qui finance les études sur l’innocuité des vaccins?
En 2015, le Dr Mercola a prouvé que la Food and Drug Administration (FDA) revoit régulièrement la littérature scientifique et découvre la corruption, mais ne fait rien !
La FDA examine plusieurs centaines de centres d’essais cliniques qui effectuent chaque année des recherches sur des participants humains afin de s’assurer qu’ils adoptent de bonnes pratiques cliniques. Mais que se passe-t-il quand elle trouve des preuves de procédures ou de pratiques douteuses ?
Dans les cas les plus graves, la FDA peut les classer comme « action officielle indiquée, » ou OAI (pour « official action indicated »). Ceci est réservé aux formes « graves » d’infractions aux essais cliniques, comprenant des « conditions ou pratiques inacceptables » qui justifient une mesure réglementaire obligatoire, par opposition aux « mesures volontaires indiquées » pour des infractions moindres. »
Maintenant, si un essai a été jugé OAI par la FDA, vous pourriez supposer que vous verriez des preuves de cela en lisant les résultats d’études basés sur ces données. Mais ce serait une hypothèse libérale. Des chercheurs ont examiné les rapports d’inspection de la FDA entre 1998 et 2013.
Ils ont trouvé 60 essais cliniques qui avaient été classifiés comme OAI, et ces essais avaient été utilisés comme données dans 78 articles publiés. Sur ces 78 études, trois seulement mentionnaient les violations constatées par la FDA !
Et nous ne parlons pas de petites erreurs innocentes. Les infractions comprenaient la fraude, l’incompétence et de mauvais comportements. Cela signifie que toute personne qui consulte un journal médical peut prendre des décisions sur la base d’études publiées frauduleuses. (Source.)
De même, les Centres Américains pour le Contrôle et la Prévention des Maladies (CDC), un autre organisme gouvernemental chargé de protéger les intérêts du public, ont fait face à de grands conflits d’intérêts qui les empêchent de présenter des études scientifiques objectives et impartiales.
Jeanne Lenzer, rédactrice en chef adjointe du British Medical Journal, a publié un rapport d’enquête montrant que la CDC américaine n’est pas honnête lorsqu’elle publie des avis de non-responsabilité dans ses études, déclarant qu’elle « n’a aucun intérêt financier ni aucune autre relation avec les fabricants de produits commerciaux « .
L’image de la CDC en tant que chien de garde indépendant de la santé publique lui a conféré un prestige énorme, et ses recommandations sont parfois appliquées dans la loi.
Malgré l’avis de non-responsabilité de l’organisme, la CDC reçoit des millions de dollars en dons et financement de l’industrie, à la fois directement et indirectement, et plusieurs mesures et recommandations récentes de la CDC ont soulevé des questions au sujet de la science qu’elle cite, des lignes directrices cliniques qu’elle promeut et de l’argent qu’elle prend.
Voir:
Il n’y a probablement pas de plus grand danger pour la santé publique aujourd’hui que les conseils et régulations du département de l’Agriculture des États-Unis (USDA) et de la FDA concernant les graisses alimentaires.
Depuis les années 1970, et le tristement célèbre « Rapport McGovern » sur la nutrition, qui condamnait les graisses saturées et les blâmait d’être à l’origine des maladies cardiaques, la santé des Américains est devenue incontrôlable, avec des épidémies d’obésité, de diabète, de cancer et de maladies cardiaques, qui sont responsables de la plupart des causes de décès aujourd’hui aux États-Unis.
Cette vidéo sur YouTube contient des séquences filmées par ABC news concernant le rapport McGovern en 1977, et explique comment les scientifiques ont averti les politiciens de l’époque que la science n’appuyait PAS la conclusion selon laquelle les graisses saturées et le cholestérol causaient des maladies cardiaques.
Pour la vidéo, sous-titres disponibles en français : Cliquez sur ‘Sous-titres’; si ce n’est pas en français : allez dans ‘Paramètres’, ‘Sous-titres’ et pour changer la langue cliquez sur ‘Traduire automatiquement’, vous aurez un vaste choix de langues.
La science, la science VRAIE qui est impartiale et qui n’est pas liée à des groupes d’intérêt spéciaux financés par l’industrie, a innocentée les graisses saturées et le cholestérol de causer des maladies cardiaques depuis de nombreuses années maintenant.
Si vous voulez faire des recherches sur ce sujet pour vous-même, nous avons réuni des liens avec de nombreuses études et des commentaires publiés par des médecins et d’autres scientifiques au fil des années sur Health Impact News. Pour en savoir plus :
La vérité sur les graisses saturées – Dénoncer le mythe du cholestérol
Malheureusement, les conseils nutritionnels gouvernementaux recommandent encore aujourd’hui un régime alimentaire faible en gras, encourageant la consommation de glucides, dont les sucres raffinés.
Même certains dans les médias « grand public » parrainés par des entreprises ont révélé la fraude scientifique concernant les graisses saturées ces dernières années, mais la principale raison n’est pas qu’ils ont « vu la lumière » en matière de nutrition scientifique, mais que Big Food s’est rendu compte que les consommateurs veulent revenir aux graisses traditionnelles, telles que le beurre et l’huile de coco, qui font partie de la chaîne alimentaire depuis des milliers d’années, et rejettent la « science » mise en avant par le gouvernement et les industries, qui veulent les convaincre que les graisses saturées sont mauvaises.
Des chercheurs découvrent la corruption dans des études plus anciennes parrainées par l’industrie du sucre niant les dangers du sucre et condamnant plutôt les graisses.
L’année dernière, un groupe de chercheurs de l’Institut Philip R. Lee pour les Etudes sur les Politiques de Santé de l’Université de Californie à San Francisco (UCSF) a passé en revue la littérature scientifique historique financée par la Sugar Research Foundation (Fondation de Recherche sur le Sucre) depuis les années 1960, ce qui nous donne une excellente perspective sur la façon dont la guerre contre les graisses saturées est devenue une politique publique.
Ces chercheurs de l’UCSF, Cristin E. Kearns, DDS, MBA; Laura A. Schmidt, PhD, MSW, MPH; et Stanton A. Glantz, PhD, ont révélé comment la Sugar Research Foundation (SRF) a influencé financièrement les chercheurs médicaux de Harvard pour qu’ils montrent des recherches ouvertes et non concluantes qui omettent beaucoup de données concluantes et négatives sur la santé.
Leur premier article a été publié dans le Journal of the American Medical Association (JAMA Internal Medicine) en 2016. L’étude s’intitule Sugar Industry and Coronary Heart Disease Research: A Historical Analysis of Internal Industry Documents. (L’industrie du sucre et la recherche sur les maladies cardiaques coronariennes : une analyse historique des documents internes de l’industrie)
Le New York Times, qui a publié pour dénoncer le mythe des graisses saturées depuis une dizaine d’années, a exposé les grands médias qui ont couvert l’étude de l’UCSF:
La façon dont l’industrie du sucre a accusé les graisses
En voici quelques extraits:
Les documents historiques récemment publiés montrent que l’industrie du sucre a payé des scientifiques dans les années 1960 pour minimiser le lien entre le sucre et les maladies cardiaques et positionner les graisses saturées comme coupable à sa place.
Les documents internes de l’industrie sucrière, récemment découverts par un chercheur de l’Université de Californie à San Francisco et publiés lundi dans JAMA Internal Medicine, suggèrent que cinq décennies de recherche sur le rôle de la nutrition et des maladies cardiaques, y compris de nombreuses recommandations alimentaires d’aujourd’hui, ont été largement façonnées par l’industrie sucrière.
« Ils ont réussi à faire dérailler la discussion sur le sucre pendant des décennies », a déclaré Stanton Glantz, professeur de médecine à l’ U. C. S. F. et auteur de l’article dans JAMA Internal Medicine.
Les documents montrent qu’un groupe commercial appelé Sugar Research Foundation, connu aujourd’hui sous le nom de Sugar Association, a payé trois scientifiques de Harvard l’équivalent d’environ 50 000 $ d’aujourd’hui pour publier une examen en 1967 sur la recherche sur le sucre, les graisses et les maladies cardiaques. Les études utilisées pour l’examen ont été sélectionnées par le groupe pour le sucre et l’article, publié dans le prestigieux New England Journal of Medicine, a minimisé le lien entre le sucre et la santé cardiovasculaire et a jeté l’opprobre sur le rôle des graisses saturées.
Bien que le trafic d’influence révélé dans les documents remonte à près de 50 ans, des rapports plus récents montrent que l’industrie alimentaire a continué d’influencer la science de la nutrition.
La NPR était une autre source d’information qui a couvert l’étude de l’UCSF en 2016 :
Il y a 50 ans, l’industrie du sucre payait silencieusement les scientifiques pour accuser la graisse
Les chercheurs de l’UCSF ont révélé comment un cadre supérieur, John Hickson, vice-président de la SRF à l’époque, a pris pour rôle de trouver un moyen de discréditer les études de plus en plus nombreuses démontrant le rôle du sucre pour une mauvaise santé cardiaque.
Il est intéressant de noter que quelques années plus tard, au début des années 1970, Hickson a rejoint les rouages de l’industrie du tabac avec le Conseil de Recherche sur le Cigare.
« En 1972, une note de service interne de l’industrie du tabac portant sur M. Hickson notait qu’il avait la réputation d’avoir manipulé la science pour atteindre ses objectifs, » et « …[il est] un politicien scientifique suprême qui avait réussi à condamner les cyclamates [anciens édulcorants artificiels], au nom du Sugar Research Council, sur des preuves quelque peu douteuses ». (Source)
Hickson avait eu l’idée de financer leurs propres recherches qui leur permettraient de discréditer légitimement et officiellement toutes les conclusions santé anti-sucre. La clé opérationnelle de ce projet était à Harvard, où « l’un des chercheurs était le président du département de nutrition pour la santé publique de Harvard – et un membre ad hoc du conseil d’administration de la SRF ». (Source)
Leur revue a été publiée dans un numéro de 1967 du New England Journal of Medicine.
Le fait qu’il ait été publié dans un magazine aussi prestigieux en tant que littérature scientifique revue par des pairs a suffi à établir sa légitimité, au moins assez pour perturber, sinon convaincre, avec des commentaires peu concluants sur les « études supplémentaires nécessaires ».
L’examen a également maintenu la théorie des lipides sur les maladies cardiaques, maintenant démystifiée, qui encourage un régime alimentaire faible en gras.
La « vérité qui dérange » selon laquelle le sucre raffiné est lié aux maladies cardiaques et au cancer n’ a jamais été publiée
La même équipe de chercheurs de l’UCSF a fait publier le mois dernier (novembre 2017) par la revue en libre accès PLOS Biology un autre article intitulé « Sugar industry sponsoring of germ-free rodent studies linking sucrose to hyperlipidemia and cancer: An historical analysis of internal documents » (le parrainage par l’industrie du sucre d’études sur les rongeurs sans germes associant le saccharose à l’hyperlipidémie et au cancer: une analyse historique de documents internes)
Encore une fois, des notes de service internes ont été ajoutées à l’analyse des données d’une autre étude financée par le SRF et menée en Angleterre, intitulée « Project 259: Dietary Carbohydrate and Blood Lipids in Germ-Free Rats » (Projet 259: Glucides alimentaires et lipides sanguins chez les rats exempts de germes), dirigée par le Dr W. F. R.. Pover à l’Université de Birmingham au Royaume-Uni entre 1967 et 1971.
Les chercheurs de l’UCSF ont réussi à obtenir les informations du Projet 259 alors qu’il n’avait jamais été publié. Le SRF n’a pas maintenu un financement suffisant pour permettre aux chercheurs d’achever la publication.
Hicks a dû faire marche arrière, malgré une énorme dépense monétaire, parce que le projet 259, destiné à prouver que le saccharose était plus bénéfique que d’autres glucides, commençait à se retourner contre lui.
Le SRF n’obtenait pas les preuves pro-sucre qu’il avait recherché.
Les premiers rapports d’études chez l’animal (souris) ont révélé que certaines réactions intestinales causées par le saccharose créaient des concentrations sériques excessives de triglycérides, marqueur connu pour des risques de maladies cardiaques accrus. Ce processus a également produit une enzyme qui a contribué à la formation d’une cascade cancérogène métabolique observée avec un cancer de la vessie.
Cette vérité dérangeante aurait pu contribuer à briser les fondements du dogme des graisses alimentaires et mettre en évidence de véritables recherches sur l’obésité et les maladies cardiaques, mais elle n’ a pas été divulguée publiquement.
Voici un extrait qui illustre l’essence motivante du document PLOS publié en 2017 par l’équipe de l’UCSF :
Le 5 janvier 2016, la Sugar Association a publié un communiqué de presse critiquant les résultats d’une étude publiée dans Cancer Research, utilisant plusieurs modèles de souris, et suggérant que le sucre alimentaire induit une augmentation de la croissance tumorale et des métastases par rapport à un régime non sucré à base d’amidon.
La Sugar Association a déclaré ‘qu’aucun lien crédible entre les sucres ingérés et le cancer n’avait été établi’.
En revanche, le présent document fournit des données empiriques suggérant que l’industrie sucrière a mis fin au financement d’une étude animale qui a révélé des résultats défavorables en ce qui concerne l’association sucres alimentaires et cancer, avec une possible importance translationnelle chez les humains.
Extrait du résumé de l’article de 2017:
Les premiers résultats [du Projet 259] ont suggéré à la SRF que les microbiotes intestinaux jouent un rôle causal dans l’hypertriglycéridémie induite par les glucides. Une étude comparant des rats conventionnels ayant un régime riche en sucre avec des rats ayant avec un régime riche en amidon a suggéré que la consommation de saccharose pourrait être associée à des niveaux élevés de bêta-glucuronidase, une enzyme précédemment associée au cancer de la vessie chez les humains. (Source de l’étude)
Cette dernière révélation est un exemple de données dommageables découvertes par inadvertance et rejetées. Ce ne sont là que deux exemples de la façon dont la recherche scientifique en nutrition est facilement manipulée par l’industrie simplement pour améliorer les résultats. Et il y en a d’autres.
En ce qui concerne le dogme selon lequel « les graisses saturées causent l’obésité et les maladies cardiaques », l’industrie sucrière a joué un rôle déterminant dans le maintien de cette croyance, au détriment de la santé publique nationale et internationale, là où ce dogme totalement faux sur les graisses saturées et du cholestérol a été « officiellement » adopté.
Le Projet 259, abandonné, aurait pu mener à d’autres recherches sur l’influence du sucre sur le cancer. Au lieu de cela, les aliments soutenant les cancers et les médicaments toxiques de chimiothérapie continuent de faire partie de l’échec de la « guerre contre le cancer« .
L’UCSF est l’institution même où le Dr. Robert Lustig a lancé sa conférence vidéo qui est devenue virale, »Sugar: The Bitter Truth » (Sucre: la vérité amère), qui explique à la fois le côté commercial du sucre et du sirop de maïs à haute teneur en fructose (HFCS) présents dans tant d’aliments transformés, et leurs conséquences qui sont imputées à tort aux graisses saturées: obésité; diabète 2; maladie coronarienne (CHD); coronaropathie (CAD).
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Pourquoi le mythe sur les graisses saturées et le cholestérol a-t-il pu survivre ?
Le médecin écossais Malcom Kendrick a déclaré que l’idée que les graisses saturées causent des maladies cardiaques est « la plus grande arnaque de l’histoire de la médecine« .
La réponse à la question « Pourquoi le mythe des graisses saturées et du cholestérol a-t-il été maintenu » est plutôt simple. Historiquement, la réduction du taux de cholestérol a toujours été le plus important flux de revenus pour les médicaments pour les sociétés pharmaceutiques.
Les ventes de statines pour abaisser le cholestérol sont les importantes de tous les temps. C’est une industrie de 100 milliards de dollars par année.
Avant l’expiration de son brevet, le Lipitor, un médicament hypocholestérolémiant, était le médicament le plus vendu de tous les temps, avec un chiffre d’affaires de plus de 140 milliards de dollars, sans concurrence sérieuse dans l’histoire des médicaments pharmaceutiques. La FDA n’a émis des avertissements sur les effets secondaires dangereux des médicaments hypocholestérolémiants qu’après l’expiration du brevet du Lipitor.
Un Américain de plus de 50 ans sur quatre consomme des statines pour abaisser son taux de cholestérol.
Apprenez-en davantage sur « l’escroquerie aux statines » avec les médicaments qui abaissent le cholestérol.
Le documentaire du Dr MaryAnne Demasi sur l’activité criminelle de l’industrie pharmaceutique concernant les statines hypocholestérolémiantes a envoyé des ondes de choc par les médias grand public australiens à la fin de 2013.
Publié en deux parties dans la populaire émission de nouvelles The Catalyst, l’industrie pharmaceutique s’est plainte à haute voix après le premier spectacle, et a demandé à la chaîne de ne pas diffuser le deuxième épisode, »Heart of the Matter Part 2 – Cholesterol Drug War » (Coeur du problème Partie 2- La Guerre des Médicaments contre le Cholestérol).
ABC Australia l’a quand même diffusé, mais l’influence pharmaceutique était apparemment trop forte, puisqu’il a annoncé plus tard que le réseau supprimerait les vidéos de leur site Web parce qu’ils « avaient enfreint ses normes d’impartialité « . Toutes les copies trouvées sur YouTube ont également été supprimées, mais elles ont été largement copiées et peuvent toujours être trouvées sur YouTube. En voici deux exemplaires:
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Coeur du problème Partie 1- Les Bandits de la Diététique
Coeur du problème Partie 2- La Guerre des Médicaments contre le Cholestérol
Combien de vies ont été détruites par la fausse science et les fausses recommandations alimentaires américaines ?
La science montre clairement comment la « théorie des lipides pour la maladie du cœur », la croyance que les graisses saturées et le cholestérol causent les maladies cardiaques, est fausse, mais cette science ne peut jamais être publiée ou exposée par Big Pharma, Big Food, ou le gouvernement des États-Unis.
Le faire serait d’admettre que de tels conseils alimentaires, et que les médicaments abaissant les taux de cholestérol, qui leur ont valu des centaines de milliards de dollars, ont été une arnaque et ont conduit à des taux accrus d’obésité, de diabète, de maladies cardiaques, et de cancer.
L’ironie de tout cela, c’est que les graisses saturées traditionnelles comme l’huile de coco, la graisse alimentaire la plus saturée que l’on puisse consommer, se sont révélées saines pour le cœur d’après de nombreuses études scientifiques.
Remercions Dieu pour les chercheurs honnêtes comme Cristin E. Kearns, DDS, MBA; Laura A. Schmidt, PhD, MSW, MPH; et Stanton A. Glantz, PhD avec l’Institut Philip R. Lee pour les Etudes sur les Politiques de Santé de l’Université de Californie à San Francisco.
Leurs recherches honnêtes fournissent l’information dont le public a besoin pour comprendre comment les conseils alimentaires du gouvernement sont corrompus et comment faire des choix intelligents en matière d’alimentation et de nutrition.
Ces informations sont de plus en plus publiées dans les médias alternatifs, car les médias « grand public » parrainés par les entreprises du dinosaure ne représentent plus l’intérêt du public, mais plutôt celui de leurs commanditaires dominés par les grandes sociétés pharmaceutiques et Big Food, et leurs liens incestueux avec les organismes de réglementation gouvernementaux tels que la FDA, l’USDA et la CDC.
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